Ô Fonds

une collection de 4 documentaires

Une coproduction : France Télévisions NC la 1ère, Maydia Production et AVCom avec le soutien du CNC

de Pascale Berlin Salmon

Ô FONDS nous plonge dans l’exploration des profondeurs de l’histoire maritime calédonienne, et unit des histoires économiques, drames humains et enquêtes sous les flots de la Nouvelle-Calédonie.
Les témoignages des experts maritimes et des passionnés d’histoire, enrichis par les trésors remontés des profondeurs par l’association Fortunes de Mer, tissent un récit poignant de survie, d’innovation et de mémoire.

Les historiens nous font découvrir l’histoire de ces années, des capitaines et leurs équipages. Les chercheurs apportent un éclairage sur les aspects méconnus du commerce, de la vie quotidienne et des drames humains liés à ces naufrages.

L’Émile Renouf : En février 1900, fier navire au service du commerce du nickel, entame son voyage depuis Thio vers Glasgow, chargé de précieuses tonnes de minerai. Sa perte soudaine près du récif Durand inaugure une bataille contre l’oubli, tant dans les salles d’audience qu’au fond de l’océan, révélant un chapitre méconnu de l’histoire industrielle calédonienne.

Le Paul Riquet : Paul Genévrière, arrière-arrière-petit-fils du commandant du Paul Riquet, voyage depuis la Suisse jusqu’à la Nouvelle-Calédonie pour plonger sur l’épave de l’ancien navire de son aïeul. Ce récit familial intime se mêle à l’aventure et à l’histoire, alors que Paul découvre non seulement l’épave mais aussi les objets et les histoires qui relient son passé familial à cette île lointaine.

L’Aventure : En 1856, le tribunal militaire de Brest est le théâtre d’un procès captivant, celui du capitaine Joseph Fidèle Eugène du Bouzet, jugé pour la perte de son navire, « L’Aventure ». La tension et l’angoisse des hommes se mêlent à l’atmosphère solennelle de la justice militaire. La cour, en ébullition, accueille le capitaine et son équipage, marquant le début d’une histoire fascinante de survie, de tragédie et d’héroïsme.

Le Tacite : Parti de Bordeaux en 1873 avec une cargaison destinée à la jeune colonie, le destin du trois-mâts barque Le Tacite bascule une nuit calme d’octobre, lorsque, sous le commandement d’un capitaine accusé d’être enivré, le bateau heurte un récif et sombre près du phare Amédée.

Le Tacite : poupées en porcelaine
et bouteille de champagne